Présidence du CONAPP Arimiyao Tchagnao pousse le bouchon loin


Depuis qu’il est à la tête du conseil national des patrons de presse, Tchagnao Arimiyao n’arrête de faire bouger les lignes non seulement au niveau de l’organisation qu’il dirige mais aussi pour le bonheur de la presse privée togolaise dans son ensemble.
Organisation professionnelle la plus représentative sur la scène médiatique togolaise, le conseil national des patrons de presse est sous les feux des projecteurs dans la ville de Kara depuis hier mardi dans le cadre des journées portes ouvertes de la presse togolaise.
Trois ans en arrière, nul ne s’était imaginé que l’actuel bureau sous l’impulsion de son Président Arimiyao Tchagnao pouvait tenir le pari de réussir ce rendez vous qui avait l’habitude de se tenir dans la capitale togolaise.
Mais le charisme et le leadership du Président du CONAPP ont permis de pérenniser ces genres de rencontres au cours desquelles la population a l’opportunité de se familiariser avec les journalistes et de comprendre leur fonctionnement.
Après donc Sokodé l’an dernier, c’est Kara qui abrite les JPO de la presse togolaise. Que ce soit à Sokodé ou à kara, la détermination de faire mieux reste la même. Le CONAPP à mis les petits plats dans les grands.
Après la cérémonie d’ouverture présidée par le Préfet de la Kozah le Colonel Bakali Baoubadi, les débats animés par des panélistes de haut niveau ont tourné autour du thème central
"médias facteur de cohésion sociale".
Des expositions, des ateliers et des émissions radios sont prévus pour se dérouler sur le site des JPO à l’université de kara.
La tenue de ces rendez-vous fait partie des promesses de campagne de l’actuel président.
Outre ce pari réussi d’autres chantiers en lien avec l’épanouissement de la presse togolaise sont aussi menés à bien.
Depuis le mois de décembre dernier, sous le leadership de TCHAGNAO, l’aide de l’Etat à la presse à connu une augmentation de 50 millions de nos francs. En plus un autre motif de fièrté des membres du CONAP pour leur Président, c’est son engagement pour une presse moderne et économiquement forte qui continue avec des réflexions pour l’harmonisation des tarifs des différentes prestations, mais aussi et surtout pour la poursuite des programmes de formation comme ce qui est en cours avec le profamed.
Au regard de ce qui précède on peut rêver des lendemains meilleurs pour la presse togolaise si le cap est maintenu.

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